Kaede /!\

Nom:
Sayuu

Prénom:

Kaede

Surnom:
Petite soeur.

Date de naissance:
8 mai


Age:
16


Statue:
Etudiant

Caractère :
Elle aime les cerisiers. Elle adore les
fleurs de sakura qui tombaient dans cours de son ancien
établissement... Elle aime aussi les cerises et regrette qu'une grande
partie des cerisier de son pays ne soient là que pour la décoration et
ne donnent pas de fruits. Elle aime les couleurs pâles... Elle ne
supporte pas de mal parler aux gens, si elle insulte quelqu'un elle
peut être sûre de vomir !!! C'est plus fort qu'elle elle regrette
chaque parole déplacées.


Physique :
Elle est très belle, très gracieuse, elle
marche tout le temps avec souplesse et sans bruit presque comme si elle
dansait ! Ses cheveux sont noirs et longs, ses yeux sont verts et
pétillent de malice, elle en a dans le ciboulot ! Elle porte toujours
le même parfum, un parfum au litchis qui fait un peu gamine mais dont
elle apprécie l'odeur. Elle ne se maquille pas, elle n'en a pas besoin
ses lèvres sont naturellement rouges, ses paupières rosées... Sa peau
douce... Ses hanches sont fines et elle possède une poitrine assez
avantageuse... Oui à 16 ans elle est l'image même de la beauté.

Histoire (5 lignes minimum):




Mon histoire n'est pas évidente à
raconter, pourtant je n'en ai pas honte, loin de là ! Enfin si un peu
mais je l'assume totalement.

Je suis née il y a seize ans,
mais j'ai était précédé d'un grand frère, il n'a que quelques minutes
de plus que moi et pourtant c'est lui l'ainé. Il parait que lorsque mon
frère est né il a crier mais que moi non, on m'a prise pour morte...
Mais non j'étais juste très calme, anormalement calme...
Enfin cela
ne changea pas la suite de mon récit, peut être en était-ce le
préface... Peut-être juste un épisode sans importance...

Quoi
qu'il en soit je grandis avec mon frère jumeau, Tsuku, j'étais la
cadette et la plus fragile. Je tombais souvent malade et lui au lieux
de sortir jouer avec ses amis restait à mon chevet. Il me protégeait
tout le temps. Il me protégea aussi lorsque nos parents commencèrent à
se disputer, nous n'avions que dix ans et déjà ils se disputaient pour
un oui ou pour un non. Souvent j'entendais notre mère pleurer le soir
et je me mettais aussi à pleurer. Alors Tsuku sortait de son lit qui se
trouvait de l'autre côté de la pièce où nous dormions et venait me
prendre dans ses bras... Il me disait ne t'en fait pas ça
s'arrangerait. Mais rien ne s'arrangea.

Alors que nous avions
quatorze ans nos parents après maintes disputes décidèrent de faire un
brek... Non ils ne divorcèrent pas... Non... Ils partirent chacun dans
leur coin. Mais bien entendu ils se partagèrent les enfants sans leur
avis. Je partit avec ma mère, Tsuku alla avec mon père. Nous ne nous
revîmes pas pendant un an.

Lorsqu'enfin il fut décidé que leur
parents se remettrait ensemble j'en fus très heureuse. Avoir été
séparée de mon frère avait était la pire des expériences que je n'eus
jamais vécue, je me suis mal alimenté, je ne travaillais plus à l'école.

Lorsque je
le revis je fus extrêmement choquée par sa taille. Alors que nous
mesurions jusqu'à présent à peu près la même il me dépassait de cinq
centimètres... Mais lui aussi ne fut pas déçu du voyage car ma
silhouette avait prit les rondeurs et les finesses de celle
d'une femme... Ce qu'il ne se gêna pas de me faire remarquer lorsque
nous fûmes seuls. Nous avions à présent chacun notre chambre. Alors le
premier soir alors que nous devions être sensés dormir depuis des
heures j'allais discrètement toquer à sa porte. J'avais fait un
cauchemar et sans réfléchir j'étais allée s'adresser à lui. La porte
s'entrouvrit.

Tsuku :
Oui ?
Moi :
J'ai fais un cauchemar, je peux dormir avec toi ?
Tsuku :
Non, va te recoucher et grandit un peu ! Merde !

Il
claqua la porte j'en fut outrée, c'était la première fois qu'il me
parlait sur ce ton ou même qu'il me repoussait. J'en était peinée, mais
cela ne s'arrêta pas là. Il se mit à me critiquer pour un oui ou pour
un non. Mon grand frère devenait méchant avec moi... Je ne comprenais
pas !

Moi :
Je pense qu'il va pleuvoir je prend un parapluie pour toi Tsuku-kun ?
Tsuku :
N'importe quoi fou moi la paix !

Effectivement
ce soir là il se mit à pleuvoir juste pendant notre dernier cours.
Alors à la sortie du collège je l'attendait, ses potes se moquèrent de
moi ainsi que mes amies en disant que je maternais trop mon frère...
Mais je m'en foutais je l'attendis et lorsqu'il sortit voulant faire le
dur et m'évitant je me plantais devant lui en souriant et lui tendait
le parapluies.

Moi :
Hey Tsuku-kun rentre pas trop tard, ce
soir c'est moi qui fait la cuisine et je te fais un riz au curry ! Si
t'es à la bourre je t'en laisse pas !

Et sans lui laisser le
temps de répondre je m'élançais sans parapluies sous la pluie. Autant
être claire je suis arrivée trempée ce jour là. Et une surprise
m'attendait, sur la table de la cuisine un petit mot de mes parents :
Nous vous laissons pour le week-end soyez sages ! Le frigo est plein si
vous avec un problème allez chez la voisine.

*Youpi super ! Pfff ! Ils auraient pu prévenir non ? Bon tant pis je vais faire le diner quand même.*

Je
m'appliquai pour faire un bon riz et ne pas louper la sauce curry,
j'aimais bien cuisine mais dans sa précipitation j'avais zappé le fait
que je sois trempée. Ce fut lorsque mon frère arriva lui bien sec et
qu'il me vit trempée ainsi qu'il éclata de rire. Un rire méchant.

Tsuku :
Tu sais que ton uniforme beige laisse voir tes forme de prostitué ?
Moi :
C'est gentil merci, à part ça papa et maman nous abandonnes ce week-end.
Tsuku :
Hein ?
Moi :
Et bien ils voyagent entre amoureux.

J'éternuais un coup avant d'éteindre le feu et d'ouvrir la cocotte pour laisser le plat refroidir.

Moi :
Je vais me doucher et me changer, comme ça tu pourras plus mater !
Tsuku :
Comme s'il y avait quelque chose à mater !

Je
me retenais de lui rappeler les formes de prostitués en voyant qu'il me
fixait des yeux. Je lui tirais la langue telle une chipie et me
précipitais dans la salle de bain. Je fermais la porte puis me
déshabillais et rentré dans la baignoire. Je réglais la température de
l'eau pour ne pas m'ébouillanter. Mais le changement fut si brutal et
si je ne m'en étais pas rendu compte j'étais si fatiguée que je
m'écroulais à grand fracas dans la baignoire.

Mon frère accourut
et me trouva dans les vapes. Il hésita quelques secondes mais pas plus,
il pénétra dans la douche tout habillé et ferma l'arrivée d'eau. Il me
releva alors doucement.

Tsuku :
ça va ?
Moi :
...

Il
comprit que je n'étais pas en mesure de parler, alors il ne se gêna pas
il m'empoigna avec tout les risques que cela encourait sachant que
j'étais trempée et qu'on se trouvait dans la baignoire. Il ne me laissa
pas tomber et ne tomba pas, il me conduit jusque dans ma chambre ou il
me déposa avec douceur sur le lit. Il me sécha, j'étais fiévreuse.Il
enleva ses affaires trempées mais ne quitta pas son caleçon par respect
pour moi... Pourquoi ne lui avais-je pas parlé de la vieille voisine à
contacter ? Vraiment je battais des records de conneries. Il finit par
m'enrouler dans un drap chaud et sec et il rentra dans le lit me
prenant dans ses bras.

Tsuku :
T'en fais pas tout va bien petite soeur.
Moi :
Mer...ci...

C'est
alors que je sentais quelque chose de, disons incongru mon frère... Les
mains de mon frère... Il était collé à mon dos et me caressait...
Je ne vous dis pas la gêne ! J'essayais de me dégager mais j'étais trop
faible pour réussir.

Moi :
Mais ça va pas !!! Tsuku-kun !!!!!
Tsuku :
Pardon petite soeur, mais t'es une fille et je veux savoir comment c'est fait.

Il
plaça ses lèvres dans mon cou, aspirant doucement faisant naître en moi
un désir incongru tout comme une rougeur due à ce suçon...

Moi :
Tsuku-kun !!! Arête nous somme frère et...

Un
baiser se plaqua sur mes lèvres m'empêchant de finir ma phrase...
J'essayais en vain de le repousser, il était maintenant au dessus de
moi. Il était lourd il m'écrasait !

Moi :
Arrête Tsuku ! ça va j'ai compris.
Tsuku :
Non t'as rien compris ! Pourquoi t'es dev'nue si belle ? Avoue que t'as envie que je te le fasse.
Moi :
Non ! Tsuku ! S'il te plait !
la fièvre me faisait perdre la tête, j'avais
peur. Tsuku était devenu si brutal avec moi. Pourquoi mon grand frère
était-il comme ça ?
Moi :
Tsuku Barres-toi !

Je
sombrais dans un abysse noir, plus rien n'existait autour de moi je
m'évanouissais. Je me réveillais bien plus tard il devait déjà être
midi, la fièvre avait chuté... Tsuku n'était plus là... Avais-je rêvé ?
Non... Une tache blanchâtre se trouvait sur mon lit. Tsuku avait du se
soulager seul...
Je m'habillas et descendais... J'espérais qu'il ne
serait pas, là... Mais il était là. Je fis comme si de rien n'était.
Pire je l'ignorait ! Me servant un verre de cornflakes. Il me
regardait. Je le sentait. Il s'approcha de moi par derrière et posa une
de ses mains sur ma hanche et l'autre sur mon ventre se collant à moi.
Je cessais de respirer.

Tsuku :
Alors t'as aimé ça.
Moi :
Non, arrête Tsuku tu me fais mal !

En effet une de ses mains avait violemment enserrait mon poignet et il le serrait si fort que j'avais mal.

Tsuku :
Te
mens pas petite soeur... J'ai vu que tu prenais ton pied. Dommage que
tu te soies évanouie avant que nous ayons fait ce que tu sais.
Moi :
Arrête Tsuku t'es dégeux !

Mais
les lèvres de mon frère se posaient déjà dans mon cou. Il me faisait
mal, je devais fuir !!! Je me dégageais sans savoir comment et prenait
la fuite. Il me rattrapa me collant contre un mur et m'embrassa. Sa
langue s'insinua dans ma bouche. Oh ! Mon dieu pourquoi nous as-tu fais
frère et soeur ??? Oui j'aimais cette sensation.

Tsuku :
T'as vu que t'aime ça !
Moi :
Arrête de te faire des idées.
Tsuku :
Mens pas.
Moi :
Pourquoi tu fais ça ?
Tsuku :
Car tu en as envie mais que tu ne l'avouera pas.
Moi :
Arrète !!!!

Je
pleurais, oui j'aimais mon frère plus que je ne l'aurais du mais je
n'avais pas envie de faire cela avec lui. Je voulais retrouver mon
frère d'avant quand il était encore gentil avec moi... Je me dérobais à
lui et partait m'enfermer dans ma chambre... Il arriva toqua à la porte.

Moi :
C'est qui ?
Tsuku :
C'est moi ouvre on a à parler.
Moi :
Non !
Tsuku :
Fais gaffe si t'as pas ouvert la porte d'ici cinq secondes je l'enfonce.

Il
commença le décompte mais je n'ouvris pas la porte qu'il défonça. Je le
regardais j'avais peur. Il s'approcha doucement de moi et s'assit à
côté de moi. I était gêné.

Tsuku :
N'ai pas peur nous avons à parler c'est tout, ne t'en fais pas je ne te ferais pas de mal... Jamais.

Je
ne répondais pas j'avais toujours peur, pourquoi ? Car je savais qu'il
avait raison, il ne me ferait jamais de mal. Ce qu'il avait fait la
nuit précédente bien que me dégoutant m'avait fait du bien. J'avais
aimé ces attouchements.

Tsuku :
Kaede je t'aime, si je t'ai fait mal pardon, je t'aime plus que tout !!
Moi :
Tsuku-kun, arrête tu es mon frère ça ne se fait pas!
Tsuku :
Tu veux dire que si je n'étais pas ton frère tu accepterais d'être avec moi.

Il m'avait piégée, je le regardais d'an air doux, un air triste, j'avais envie de le toucher mais il était mon frère...

Moi :
Oui, mais tu es mon grand frère alors ne rendons pas le choses compliquées d'accord ?
Tsuku :
Alors je ne te considère plus comme ma soeur. Je te veux autrement. Kaede... Tu m'aimes ?

Je
rougissais, oui je l'aimais mais cela ne devait pas se faire c'était
contre nature... Et pourtant j'acquiesçais. Alors il me prit doucement
dans ses bras et m'allongea sur mon lit, mes mains caressaient son
corps et les siennes parcouraient le mien... Je défit les boutons de sa
chemise alors qu'il passait ses mains sous mon tee-shirt pour me le
retirer... Il essaya de dégrafer mon soutien gorge mais il l'était
maladroit.

Moi :
Attends...

Il me regarda comme si
après avoir accepté j'allais me refuser à lui, je l'embrassais en
dégrafant moi même le soutien gorge, puis je lui ôtait sa chemise et me
collait contre lui. Sa peau était chaude contre la mienne. Il me serra
fort contre lui.

Tsuku :
Tu es sûre que tu ne le regrettera pas.
Moi :
Non... Mais j'ai envie de le faire.
Nous profitâmes de l'absence de nos parents
et ce jours là nous ne nous consacrâmes que l'un à l'autre...
Mais bien entendu cela n'aurait pu durer... Nous cachâmes notre liaison à nos parents et décidâmes d'entrer dans un pensionnat loin de notre maison pour ne pas les inquiéter...

Passion:
Le sport...

Aime:
Tsuku

N'aime pas:
Qu'on la juge.

Autre:
Rien

Code: Je n'en ai pas vu dans le rêglement ou dans l'histoire...